Pièces détachées Morris Minor chez Limora

Ce qui a commencé comme une voiture pour l'après-guerre, est finalement devenu la "Volkswagen anglaise". Si vous faites également partie des heureux propriétaires de l'automobile aguicheuse qui a remporté un succès aussi retentissant, nous avons toutes les pièces détachées Morris Minor disponibles pour vous en stock.

Max Berger 
Il s'y connaît. Ses voitures n'ont jamais vu l'intérieur d'un atelier étranger. Peinture, soudure, brasage, électricité, combinaisons roues-pneus : Il sait tout faire lui-même. Il est toujours prêt à répondre aux questions.

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Morris Minor Série II (1952-1956)

Comme aucune autre voiture auparavant, la Morris Minor a décollé : Partant du concept d'un mobile de petite taille et donc peu coûteux, la Morris a évolué, tout en restant sur le plan d'Alec Issigonis, du minuscule "Mosquito" à un véhicule confortable et capable qui allait devenir un best-seller dans les modèles ultérieurs.

1952 voit la fusion de Morris et d'Austin pour former la British Motor Company. Cette année-là, la Morris Minor Série II est présentée et, comme son prédécesseur, elle impressionne par sa bonne stabilité dans les virages et son comportement intuitif. Le modèle, qui a subi une révision substantielle, a ainsi reçu un entraînement dérivé de l'Austin, ainsi que la boîte de vitesses, le carter d'essieu, l'arbre à cardan et le différentiel.

En outre, le moteur est modernisé : Désormais, la Morris est équipée d'un moteur à soupapes en tête de 803 cm3, conçu à l'origine pour l'Austin A30. Ce moteur est plus petit que celui du prédécesseur de la Minor MM, qui est équipé de 918 cm3, mais il est plus performant. Bien qu'il faille un peu de temps pour atteindre un peu moins de 100 km/h, soit 52 secondes, la vitesse de pointe passe à un peu plus de 100 km/h.


En 1952, une version break est également introduite sous le nom de "Traveller".

Morris Minor 1000 (1956-1971)

En 1956, l'entreprise s'éloigne de la grande variété de finitions de couleurs et de garnitures qui étaient proposées sur le Minor et se concentre davantage sur la rationalisation des composants. Ainsi, la production de la Minor 1000 a permis de réaliser certaines économies d'échelle.

Ceci a permis une plus grande densité de production à une époque où de plus en plus de voitures étaient vendues. Pour la Minor 1000 en particulier, ce fut la bonne décision : En 1960, jusqu'à 100 000 Morris Minor par an quittaient la production, pour un total de 1,6 million de véhicules vendus dans le monde.

  • Des versions de luxe étaient également disponibles : en 1957, par exemple, la Riley 1.5 ou la Wolseley 1500 étaient disponibles sur le châssis de la Minor, mais avec un moteur BMC série B plus puissant.

La Morris Minor doit son nom à son moteur de 948 cm3, qui provenait de l'Austin A35 et atteignait une vitesse maximale de 124 mph. Lors de la révision, il a reçu un vilebrequin renforcé, ce qui a rendu la Morris déjà durable encore plus robuste. La maniabilité a été rendue encore plus facile par une boîte de vitesses optimisée avec une meilleure graduation.

  • La Morris Minor 1000 est le modèle le plus souple et le plus assoiffé de la gamme Minor, qui a été suivie d'une berline et d'un cabriolet, puis d'une version fourgonnette et pick-up.
 

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